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mardi, octobre 6 2020

Mémoires d'une fille du Haut-Doubs (chez Amazon)

Roman historique d'une fille du Haut-Doubs de 1852 à 1928

Auteur : Danielle Demangeon-Raguin

  • Cette chronique familiale raconte la vie d’Émérance Saillard (1852-1928) dans son village de montagne du Haut-Doubs dans une France qui évolue.

Émérance naît dans une famille de paysans propriétaires à Rochejean où le partage du travail est la règle, avec des parents à l’esprit ouvert, des frères et sœurs qui s’entendent bien, où le travail se mêle aux jeux. Elle n’a pas d’autre amour que son Léon avec qui elle forme un couple fusionnel dans les bonheurs et les malheurs. Femme forte, elle supporte les drames avec dignité. En 1928, lorsqu’elle disparaît, son mari est inconsolable. L’histoire d’Émérance, c’est aussi celle de sa famille, de son village, de son époque.

  • L’auteure aborde l’importance de l’entraide dans le milieu agricole, les liens familiaux, la scolarisation et la laïcité, les droits des femmes, les événements politiques, la modernisation, les transports, la vie urbaine comparée à la vie rurale, les guerres et les drames.

L’histoire n’est pas complètement vraie, mais elle est vraisemblable. La plupart des personnages ont existé. L’auteure ne pense pas avoir atteint à leur mémoire, mais si leurs descendants estiment que cela leur cause un préjudice, le texte sera modifié ou complété.

  • Les lecteurs intéressés par la généalogie des personnages peuvent les retrouver sur le site GENEANET de l’auteure.

Octave, de la faux au sabre (chez Amazon)

Roman historique d'un soldat du Haut-Doubs au XIXe siècle

Auteur : Danielle Demangeon-Raguin

  • Né en 1841, dans une modeste famille paysanne, à Rochejean, village du Haut-Doubs, Octave Raguin, orphelin de père, choisit la carrière militaire. En 1870, il participe aux combats de Lorraine, part en captivité en Allemagne après la reddition de Metz tandis que d’autres vivent la retraite de l’armée de l’Est. Il assure le maintien de l’ordre à Lyon lors des insurrections de 1871. Malade, il est contraint de quitter l’armée à 40 ans.